Thursday, June 18, 2015

Survival Tip, if you can find a cave by the seashore

According to Lumley, this is what Neanderthals did in Grotte du Lazaret, in Mont-Boron very near to Nice.

Inside the cave, make a hut, 3.5 by 11 meters (11 ft 6 in by 36 ft 1 in), using one cave wall and surrounding the space on other three sides with skins. And with a roof of skins as well.

Inside the hut, make beds by dried seaweed covered with skins and make two fireplaces, one near each end of the hut.

Use the fireplaces as dustbins too.

Should be enough for a Duggar sized family, or for a few smaller ones./HGL

Friday, January 23, 2015

Les artistes (peintres, graveurs ...) - avec un peu de patrons ou mécènes et autres connexes


1) Φιλολoγικά/Philologica : Les âges des ancêtres DU Robespierre - et d'autres! ; 2) Sur les Dévanceurs de Marie-Antoinette ; 3) Et les ancêtres du roi martyr? Regardons aussi la parité entre les sexes ... ou même le privilège féminin ; 4) musicalia : Les Musiciens ; 5) Recipes from Home and Abroad : Les artistes (peintres, graveurs ...) - avec un peu de patrons ou mécènes et d'autres connexes ; 6) New blog on the kid : Chirurgiens et surtout Sage-femmes ; 7) Φιλολoγικά/Philologica : L’Académie et entourages ; 8) Et le Moyen Âge? Hormis royautés ; 9) Moyen Âge, Royautés ; 10) La Lettre A d'une Encyclopédie ; 11) Monge et Jaurès - démographie ; 12) Lesseps fut aussi à La Pérouse

Découvrir un bon peintre d’une bonne période (et les périodes me semblent assez bonnes) et m’adonner au doux plaisir de l’espégéka (aussi épelé SPGK – l’acte d’aller d’un article à un autre article connexe dans un dictionnaire ou surtout une encyclopédie) font de cet exercice un petit plaisir. Omettre les gens dont les dates comprennent une ou l’autre date comme incertaine même pour l’année (une fois je compté l’année de naissance la plus récente entre deux avoisinantes) m’épargne un trop d’exertation dans le côté dur des statistiques.

Résumés statistiques pour ceux qui sont de dates surs, 71 des personnages.

44 - né le 15 décembre 1657, mort à Landau le 14 août 1702 1 40 4
44
62 - 1655 † 1717 2 100 6
44 66
10 - 1685 † 1695 (mortalité infantile) 3 110 6

60 - Paris 12 janvier 1674 - Paris 21 novembre 1734 23 1310 14
69 - 1642-1711 24 1370 23
80 - baptisé le 3 novembre 1652 à Paris en France - 17 juin 1733 25 1450 23
58 - 1632-1690 baptisé le 11 janvier 1632 à Bruxelles et mort le 15 octobre 1690 à Paris 26 1500 31
88 - baptisé à Paris le 5 mars 1683 - décédé à Paris en 1771 27 1580 39
74 - né à Anvers et y baptisé le 22 janvier 1573, et mort dans sa ville natale le 20 mai 1647 28 1650 43
10 20 20 39 42 44 45 50 50 58 60 64 66 66 68 69 70 70 72 74 75 78 79 79 80 80 81 88

À 53 personnes comptés pour la moyenne, j’ai manqué une pour la médiane. Ne comptés pas que je recompte ! Car à 71 comptés pour la moyenne, les comptes pour la médiane (etc) ne sont qu’à 70, c’est-à-dire juste un qui me manque. Minimum 10, maximum 88, entre les deux quartile basse à 54, médiane à 71 et quartile haute entre 79 et 88. Moyenne = 62 ou plutôt 63.

71 4520 28 = 71 4548
4548 : 71 = L (454 – 355 = 99) X (99 – 71 = 18, 188) II (188 – 142 = 46) = LXII/LXIII

10 20 20 36 38 39 42 44 45 49 50 50 50 54
54 55 55 57 57 58 59 60 60 61 63 63 64 65
65 65 66 66 66 68 68 68 69 70 70 71 71 71
71 72 72 72 73 73 74 75 75 78 78 79 79 79
80 80 80 81 82 83 83 84 84 85 85 87 88 88

Désolé, la quartile basse est à 57 ans, la médiane à 68 ans et la quartile haute est entre 78 et 79 ans. La moyenne n'est pas affectée par mon erreur.

10 20 20 36 38 39 42 44 45 49 50 50 50 54 54 55 55 57
57 58 59 60 60 61 63 63 64 65 65 65 66 66 66 68 68
68 69 70 70 71 71 71 71 72 72 72 73 73 74 75 75 78 78
79 79 79 80 80 80 81 82 83 83 84 84 85 85 87 88 88

Ce que j’avais donné, c’étaient des quintiles.

En plus, hier, quand j’écrivais ceci, j’avais encore fait une gaffe. Les quartiles hautes et basses étant les médianes des moitiés d’un ensemble entre lesquelles se trouve sa médiane, ce qui vaut pour la médiane vaut aussi pour les quartiles : si ce qu’on part concrètement en deux, le tout ou la moitié basse ou la moitié haute est un nombre impair, alors le médiane ou quartile est la valeur qui se trouve au milieu, ce qui est le cas pour 35. Pour un nombre pair des valeurs, on prend la valeur des deux valeurs autour du milieu, s’ils sont identiques, sinon, c’est « entre les deux ». Donc, la quartile haute devait être à 78 ans, pas entre 78 et 79.

Et maintenant, aux détails biographiques, qui sont davantage intéressants en soi.

En détail biographiques.

I Robert Bonnart est le dixième enfant de l’imprimeur en taille-douce Henri Ier Bonnart et de Marguerite Martin – lui est un de quatre mentionnés par articles :

1 [Nicolas Bonnart (vers 1637-1718) est un graveur, éditeur et marchand d'estampes français] Je reviendrai à ses frères ...

Nicolas Bonnart À l'âge de dix-huit ans, il est mis en apprentissage pour cinq ans chez Jean Ganière, où il apprend la gravure. Il débute sa propre activité d'éditeur dans les années 1660, en association avec ses parents ou à son propre compte, tout en gravant des portraits de diverses personnalités, comme le pape Clément IX ou le maître-écrivain Nicolas Duval. Il travaille également pour la Maison du roi2, en réalisant par exemple des planches d'architecture pour Les édifices antiques de Rome, dessinés et mesurés très exactement d'Antoine Desgodets et grave d'après Frans Van der Meulen.

Jean Ganière (vers 1615-1666) est un graveur, éditeur et marchand d'estampes français1. Jean Ganière, fils d'un imprimeur lyonnais, fut placé en apprentissage à Paris chez Jean Vallet. Après la mort de Vallet en 1637, il épousa sa veuve, Marguerite de Lericourt, et s'imposa comme graveur, imprimeur d’estampes et marchand de la rue Saint-Jacques à l'image de Sainte-Catherine, puis à l'image Saint-Louis en 1652. Il fut chargé par Guillaume Tiffy, chanoine de la cathédrale de Lodève, de graver pour une édition du Nouveau Testament « cent cinquante trois planches sur cuivre in-folio. Sur chacune il y aura figures des évangélistes et des saints et au bas sera gravé le sens moral »2.

Nicolas Duval est un maître écrivain et graveur français, né en 1635, actif au milieu du XVIIe siècle. Il est mort au début du XVIIIe siècle, laissant deux fils, également maîtres écrivains. Il passe pour avoir perfectionné l'écriture bâtarde. En 1670, il était le maître à écrire de Louis-Thomas de Savoie-Carignan, et secrétaire ordinaire de la Chambre du Roi. Vers 1670-1685 il était établi à Versailles, rue de Paris, à l'enseigne du Soleil levant, et y édite à plusieurs reprises des Heures gravées par son confrère Louis Senault.

Louis-Thomas de Savoie-Carignan, né le 15 décembre 1657, mort à Landau le 14 août 1702, fut comte de Soissons de 1673 à 1702. Il était officiellement le fils de Eugène-Maurice de Savoie-Carignan, comte de Soissons, et d'Olympe Mancini mais il était supposé être le fils naturel du roi Louis XIV

Il épousa le 12 octobre 1680, Uranie de la Cropte (1655 † 1717) et eut :

• Louis Thomas (1685 † 1695)

• Emmanuel-Thomas (1687 † 1729), comte de Soissons

• Maurice (1690 † 1710)

• Eugène (1692 † 1712)

• Marie Anne Victoire (1683 † 1763), mariée en 1738 (et séparée en 1752) à Joseph (1702 † 1787), duc de Saxe-Hildburghausen

• Thérèse Anne (1686 † 1736)

Louis Senault (1630 - ca. 1680) est un maître écrivain et graveur français.

Un maître écrivain est un professionnel qui, sous l'Ancien Régime, faisait son métier de bien écrire. Aux XVIe et XVIIe siècles, les maîtres écrivains se sont regroupés dans des corporations (en France) ou des guildes (dans les Pays-Bas espagnols). Ce terme de « maître écrivain » doit en principe être réservé à ceux d'entre eux qui avaient été reçus maîtres dans leur corporation. Pour les autres, on parlera plus volontiers d'écrivain public ou, pour ceux qui travaillaient sur des ouvrages de luxe, de calligraphe (encore que ce terme ne soit pas utilisé sous l'Ancien Régime, on disait plutôt « écrivain », ou quand on était spécialisé, « écrivain pour le grec, écrivain pour l'hébreu », etc.).

2 Henri II Bonnart frère de no(1642-1711) est un peintre, graveur, éditeur et marchand d'estampes français

3 Robert Bonnart (baptisé le 3 novembre 1652 à Paris en France - 17 juin 1733) est un peintre et graveur français. Il épouse en 1680 la fille d’un barbier-perruquier, Catherine Lorne, sœur du peintre François Lorne, membre de l’Académie royale et proche de Charles Le Brun. Ils ont ensemble de nombreux enfants, parmi lesquels seul Robert-François, né le 3 mars 1683, semble atteindre l’âge adulte. … La carrière de Robert Bonnart se déploie dans l’entourage de Frans Van der Meulen (1632-1690), qui devient parrain de son fils et avec qui il collabore à l’entreprise du Cabinet du Roi. Il cosigne ainsi des planches de plusieurs batailles et divertissements royaux avec son frère Nicolas Ier ou Adrien-François Bauduins. Il réalise également des peintures pour des cartons de tapisseries ou des copies dont certaines sont aujourd’hui conservées au Château de Versailles. Antoine-Joseph Dezallier d’Argenville témoigne de cette activité, en écrivant que Van der Meulen « se servoit souvent de Martin l’aîné, de Baudouin, de Bonnart & d’autres peintres pour ébaucher sur ses dessins ses grands tableaux qu’il repassoit ensuite », ainsi que pour exécuter des copies de ses peintures. . … S’il fréquente des peintres de l’Académie royale de peinture et de sculpture comme Claude Hallé et Louis II de Boullogne, Robert Bonnart s’inscrit quant à lui dans le milieu de l’académie de Saint-Luc, où il devient adjoint-professeur. Il effectue la prisée de tableaux lors d’inventaires après décès comme celui de la princesse Anne de Rohan, en 1684-16857, ou du peintre Charles de La Fosse, en 17178.

4 [Jean-Baptiste Bonnart (1654-avant 1734) est un peintre et graveur français.]

II [fils de Robert :]

Robert-François Bonnart (baptisé à Paris le 5 mars 1683 - décédé à Paris en 1771) est un peintre et graveur français. Filleul de Adam-François Van der Meulen, il embrasse rapidement la profession de son père et travaille notamment à la manufacture des Gobelins au début du XVIIIe siècle.

Adam-François Van der Meulen, baptisé le 11 janvier 1632 à Bruxelles et mort le 15 octobre 1690 à Paris, est un peintre d’origine bruxelloise. En 1646, il est l'élève à Bruxelles de Peeter Snayers, puis à l'école d'Anvers, avant d'entrer au service des archiducs espagnols. Maîtrisant l'art de représenter les chevaux et les paysages, sa renommée traverse les frontières et en 1662, il est appelé à Paris par Charles Le Brun, premier peintre du roi Louis XIV et directeur de la Manufacture des Gobelins … Il attire à Paris, le graveur Adriaen Frans Boudewyns, qui épouse sa sœur Barbara en 1670.

Peeter Snayers (né le 24 novembre 1592 à Anvers ; mort vers 1666-67 à Bruxelles, appelé aussi Pieter où Petrus Snayers, était un peintre flamand. Snayers était élève de Sebastian Vrancx, et devint en 1613 artiste indépendant de la Guilde de Saint-Luc, corporation anversoise des artisans d'art et artistes. Il est appelé à Bruxelles comme peintre de cour en 1628, où il meurt en 1667.

Sebastiaen (Sebastiaan en néerlandais moderne - Sébastien en français) Vrancx, Vranckx ou Franck1, né à Anvers et y baptisé le 22 janvier 15732, et mort dans sa ville natale le 20 mai 16473,2, est le premier peintre des Pays-Bas méridionaux à s'être spécialisé dans les représentations de pillages, d'embuscades et de batailles. Il est considéré comme le précurseur de ce genre. Selon Carel van Mander, dans son Schilder-Boeck, il fut un apprenti d'Adam van Noort4,7,5, qui comptait parmi ses élèves des peintres aussi illustres que Pietro Paolo Rubens, Jacques Jordaens et Hendrick van Balen8.

Adam van Noort (1561/2, Anvers – 1641, Anvers) est un peintre et dessinateur flamand qui fut le maître de Pierre Paul Rubens et Jacob Jordaens. Il collabora avec Maarten de Vos à la décoration de la Joyeuse Entrée de l'archiduc Ernest d'Autriche en 1594. C'est seulement vers 1600 qu'il développa son propre style reconnaissable, une transformation du style romaniste héroïque de Frans Floris des années 1560 dans des compositions plus réduits avec de nombreux petits figures (comme La prédication de saint Jean-Baptiste, Rubenshuis, 1601).

Maarten de Vos, Martin de Vos ou encore Marten de Vos né en 1532 à Anvers, où il meurt le 4 décembre 1603, est un peintre flamand de sujets religieux, allégoriques, historiques et de portraits. Son neveu Willem de Vos était également peintre.

Willem de Vos (v. 1593-v. 1629) est un peintre baroque flamand.

Frans Ier de Vrient ou de Vriendt dit Frans Floris, (1520 à Anvers - 1570), est un peintre d'histoire romaniste flamand issu d'une grande famille d'artistes. Petit-fils et fils de sculpteur, frère de l’architecte et sculpteur Cornelis Floris de Vriendt, Frans a commencé comme apprenti sculpteur sous la direction de son oncle à Anvers, mais renonce à la sculpture pour se consacrer à la peinture. À vingt ans, il se rend à Liège pour y suivre des cours de Lambert Lombard, élève de Jan Gossaert dit Mabuse, dont les voyages en Italie avaient métissé le style.

Cornelis Floris de Vriendt, né en 1514 et mort le 20 octobre 1575, est un architecte et sculpteur de la Renaissance flamande. Il a joué un rôle important dans la construction de l'Hôtel de ville d'Anvers.

Lambert Lombard, né à Liège en 1505 ou en 1506 et mort dans la même ville en août 1566, est un artiste de la Renaissance, à la fois peintre, architecte, graveur, archéologue, collectionneur, numismate, mythographe, homme de lettres, historien de l'art et maître d'une académie de grande réputation.

Jan Gossaert (Maubeuge 1478 - Anvers 1er octobre 1532) dit Mabuse (parfois aussi nommé Maubeuge ou Jean de Maubeuge car il est originaire du pays meusien), est un peintre maniériste flamand de l'école dite des romanistes. Il est aussi appelé Jean Gossaert

Pierre Paul Rubens (prononcé [ʁybɛns] à la belge), ou Peter Paul Rubens en néerlandais, et Pietro Paolo Rubens à partir de 1608, né le 28 juin 1577 à Siegen (Westphalie) et mort le 30 mai 1640 à Anvers, est un peintre baroque flamand.

Jacob Jordaens (en français parfois Jacques Jordaens et en néerlandais Jacobus Jordaens) est un peintre et graveur flamand né le 19 mai 1593 à Anvers, où il est mort le 18 octobre 1678.

Hendrick van Balen est un peintre et un décorateur de mobilier flamand, né à Anvers en 1575, mort en 1632.

Charles Le Brun, né le 24 février 1619 à Paris où il est mort le 12 février 1690 (à 70 ans), est un artiste peintre et décorateur français, premier peintre du roi Louis XIV, directeur de l'Académie royale de Peinture et de Sculpture, et de la Manufacture royale des Gobelins. Il s'est surtout illustré dans la décoration du château de Versailles et de la galerie des Glaces. … Charles Le Brun commence par apprendre la sculpture auprès de son père Nicolas Le Brun. Il entre vers 1632 dans l'atelier du peintre François Perrier. Deux ans plus tard, il est remarqué par le chancelier Pierre Séguier, qui le recommande à Simon Vouet. Il apprend son métier dans l'atelier de ce grand maître, où il a comme condisciples Pierre Mignard, André Le Nôtre et Eustache Le Sueur. Il quittera Simon Vouet pour Nicolas Poussin. En 1642, déjà reconnu à Paris et grâce à l’aide financière du chancelier, Le Brun part pour l'Italie, faisant le voyage de Lyon à Rome en compagnie de Poussin.

Jean-François Perrier, né à Pontarlier en 1594 et mort à Paris en novembre 1649, est un peintre et graveur franc-comtois.

Pierre Séguier, né le 28 mai 1588 à Paris, et mort le 28 janvier 1672 à Saint-Germain-en-Laye1, est un homme politique et magistrat français, sous Louis XIV.

Simon Vouet, né le 9 janvier 1590 à Paris où il est mort le 30 juin 1649, est un artiste-peintre français.

Pierre Mignard, né à Troyes le 17 novembre 1612 et mort à Paris le 30 mai 1695 est un artiste-peintre français.

André Le Nostre, ou Le Nôtre1, (né à Paris le 12 mars 1613 où il meurt le 15 septembre 1700) fut jardinier du roi Louis XIV de 1645 à 1700 et eut notamment pour tâche de concevoir l'aménagement du parc et des jardins du château de Versailles, mais aussi celui de Vaux-le-Vicomte (pour Nicolas Fouquet) et Chantilly. Il était un très fameux courtisan et réussit à s'acquérir une grande faveur auprès de Louis XIV. Sous une bonhomie probablement travaillée (en présence même du roi) qui lui valut le surnom de son vivant le « bonhomme Le Nôtre », il sut se placer à l'écart des intrigues de la Cour et s'attirer les bonnes grâces d'un roi passionné de jardins2. Il fut l'auteur des plans de beaucoup de jardins à la française.

Eustache Le Sueur ou Lesueur, né à Paris le 19 novembre 1616 et mort à Paris le 30 avril 1655, âgé de 38 ans, est un artiste peintre et dessinateur français de style baroque, considéré comme l'un des fondateurs de la peinture française classique et parfois surnommé « le Raphaël français ».

Nicolas Poussin, né au hameau de Villers, commune des Andelys, le 15 juin 1594, mort à Rome le 19 novembre 1665, est un peintre français du XVIIe siècle, représentant majeur du classicisme pictural. Actif aussi en Italie à partir de 1624. Peintre d'histoire, compositions religieuses, mythologiques, à personnages, ou encore de paysages animés. Il fut l'un des plus grands maîtres classiques de la peinture française et un "génie européen", comme le rappelle l'exposition Nicolas Poussin de 1994 à Paris, à l'occasion de la célébration du quatrième centenaire de sa naissance1.

Adriaen Frans Boudewyns, dit le Vieux1 (francisé en Adrien François Baudouin), est un peintre paysagiste et graveur flamand, né à Bruxelles où il est baptisé le 3 octobre 16442,3, fils de Nicolas et Françoise Joncquin, et mort à Bruxelles en 17113. Il a un neveu qui sera son élève et également peintre paysagiste : Adriaen Frans II Boudewyns, né à Bruxelles en 16737.

Adriaen Frans II Boudewyns, né en 1673 et mort en 1741, est un peintre flamand.

Antoine Joseph Dezallier d’Argenville, né le 1er juillet 1680 à Paris où il est mort le 29 novembre 1765, est un naturaliste, collectionneur et historien d’art français. … Maître des comptes en 1733 et conseiller du roi en 1743, il se lie avec Henri François d'Aguesseau. … C'est le graveur et éditeur Jacques de Favanne (1716-1770) et le fils de celui-ci Jacques Guillaume de Favanne qui la fait paraître en 1780. … réunit une importante collection comprenant aussi bien des œuvres d'art que des curiosités naturelles, qui fut vendue après sa mort, en 1766, sous la direction de l'expert Pierre Rémy

Henri François d'Aguesseau, seigneur de Fresnes, est un magistrat français, né le 27 novembre 1668 à Limoges et mort le 9 février 1751 à Paris. Henri François d'Aguesseau, fils d'Henri d'Aguesseau, maître des requêtes et intendant du Languedoc, et de Claire Eugénie Le Picart de Périgny, nièce d'Omer Talon, était issu d'une famille parlementaire récemment anoblie (1594) et fut élevé dans un milieu fortement influencé par le jansénisme. Lui-même épousa, le 4 octobre 1694, Anne Françoise Lefèvre d'Ormesson (1678-1735), également issue d'une grande famille de robe. Ce mariage représentait, selon un contemporain, Achille de Harlay, « l'alliance du mérite et de la vertu »

Henri d'Aguesseau (né en 1638, mort le 17 novembre 1716) est un homme politique français.

Omer Talon, avocat général au parlement de Paris, d'une famille originaire d'Irlande, né vers 1595 à Saint-Quentin, mort en 1652.

Achille Ier de Harlay (1536-1616)

Son fils, Christophe II de Harlay (né vers 1570, décédé en 1615), comte de Beaumont, fut conseiller, puis président du Parlement de Paris (en 1582) et ambassadeur en Angleterre de 1602 à 1607. Il épousa le 3 juin 1599 Anne Rabot, dame d'Illins et de Hautefort.

Leur fils, Achille II de Harlay, né en 1606, décédé le 7 juin 1671, fut comte de Beaumont, conseiller au Parlement de Paris (1628-1635), maître des requêtes (1635-1661), conseiller d’État. Il épousa le 18 octobre 1638 Jeanne-Marie de Bellièvre (décédée le 19 mars 1657 à l'âge de 40 ans), fille de Nicolas de Bellièvre, seigneur de Grignon et président à mortier du Parlement de Paris.

Leur fils, Achille III de Harlay, né le 1er août 1639, décédé le 23 juillet 1712, comte de Beaumont, seigneur de Grosbois, fut conseiller du Roi au Parlement (1657-1667) puis Procureur général (1667-1689) et enfin Premier président du Parlement de Paris7. Il épousa le 12 septembre 1667 Anne-Madeleine de Lamoignon, fille de Guillaume Ier de Lamoignon, qui fut lui aussi Premier président du Parlement de Paris.

Leur fils, Achille IV de Harlay, né le 11 juillet 1668, décédé âgé de 49 ans le 23 juillet 1717, comte de Beaumont, marquis de Bréval, conseiller au Parlement (1689), Avocat général (1691), conseiller d’État (1697). C'est donc un arrière-arrière-petit-fils d'Achille Ier de Harlay. Il se maria le 2 février 1693 avec Anne-Renée Louise du Louët, fille unique de Robert-Louis du Louët, marquis de Coëtjunval (en Ploudaniel), doyen du Parlement de Bretagne et de Renée Le Borgne de Lesquiffiou, propriétaire du château de Lesquivit à Dirinon.

Leur fille unique, Louise-Madeleine d'Harlay, née en 1694, décédée le 7 novembre 1749, épousa le 7 décembre 1711 Christian-Louis de Montmorency-Luxembourg, (né le 9 février 1675, décédé le 23 novembre 1746 à Paris), duc et prince de Tingry, lieutenant-général des Armées du Roi et de la Province de Flandre, maréchal de France3.

[Pierre Rémy (né le 31 mars 1947 à Paris) est un réalisateur français. - Évidemment un homonyme!]

Claude Guy Hallé, né en 1652 à Paris et mort en 1736 à Paris, est un peintre français. Fils du peintre Daniel Hallé et père du peintre Noël Hallé, Claude Guy Hallé fut couronné plusieurs fois par l’Académie royale de peinture. Il fut chargé de travaux assez considérables dans les résidences royales de Meudon et de Trianon.

Daniel Hallé, né le 27 septembre 1614 à Rouen et mort le 14 juillet 1675 à Paris, est un peintre français connu pour ses scènes bibliques.

Noël Hallé, né le 2 septembre 1711 à Paris où il est mort le 5 juin 1781, est un peintre et graveur français. … Il compte parmi ses élèves Pierre-Antoine Mongin. … Il était le beau-frère de Jean II Restout et le neveu de Jean Jouvenet. Son fils était le célèbre médecin Jean Noël Hallé.

Pierre-Antoine Mongin, né à Paris en février 1761 et mort le 19 mai 1827 à Versailles1, était un artiste-peintre et graveur français.

Jean Restout, dit Jean II Restout ou Jean Restout le jeune, né à Rouen, le 26 mars 1692 et mort à Paris le 1er janvier 1768, est un peintre rococo français. Ayant épousé, en 1720, la fille du peintre Claude Guy Hallé, Marie-Anne Hallé, leur fils fut le peintre Jean-Bernard Restout (1732-1797). Il eut aussi comme élève son beau-frère, Noël Hallé.

Jean-Bernard Restout, né le 22 février 1732 à Paris où il est mort le 18 juillet 1797, est un peintre français. … À la Révolution, il est président de la Commune des Arts qui mène campagne, avec son fondateur David pour la suppression de l’Académie.

Jean Restout, dit Jean Ier Restout ou Jean Restout le vieux, né à Caen le 15 novembre 1666 et mort à Rouen le 20 octobre 1702, est un peintre français. Élève de son père Marc Restout, Jean Ier appartient à l’illustre famille des peintres Restout. Il avait épousé Magdeleine Jouvenet, sœur de Jean Jouvenet.

Marc-Antoine Restout, né le 14 février 1616 à Caen, mort le 3 avril 1684 à Caen, est un peintre français. … Il épouse Jeanne Heuste5 avec qui il a dix enfants6, dont la plupart deviennent peintres, parmi lesquels Jacques Restout, Eustache Restout, Jean Ier Restout, Charles Restout, Thomas Restout, Pierre Restout, Marc Antoine Restout.

Jacques Restout, né à Caen vers 1650 et mort vers 1701, est un peintre et graveur français.

Eustache Restout, né à Caen le 12 novembre 1655 et mort à Mondaye le 1er novembre 1743, est un architecte, graveur et peintre français. Religieux prémontré, mort sous-prieur de l’abbaye Saint-Martin de Mondaye, Eustache Restout appartient à l’illustre famille des peintres Restout. C’est sur ses plans que fut rebâtie l'abbaye de Mondaye dont il décora l'église de plusieurs tableaux qui furent, depuis, transférés à la cathédrale de Bayeux. Il a été le maître de son neveu Jean II Restout.

Thomas Restout, né le 15 mars 1671 et mort à Caen le 2 mai 1754, est un peintre français.

Jean Baptiste Jouvenet dit le grand, né à Rouen à la fin d’avril 1644 et mort à Paris le 5 avril 1717, est un peintre et décorateur français. … Ayant commencé ses études avec son père Laurent Jouvenet, il monte à Paris en 1661 où il rejoint l'atelier de Le Brun qui, l’estimant beaucoup, l'associe à quelques ouvrages importants commandés par le roi en l'intégrant à l’équipe des décorateurs des résidences royales : le château de Saint-Germain-en-Laye, la Galerie des Tuileries, le château de Versailles (peinture murale de la tribune de la nouvelle chapelle royale en 1709) et les douze apôtres du dôme de la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides en 1704.

Laurent Jouvenet, dit le jeune, né à Rouen en 1609 et mort à Rouen le 17 novembre 1681, est un peintre français.

La famille Jouvenet est une dynastie d’artistes normands dont le chef, Jean Jouvenet, peintre-sculpteur originaire d’Italie, mort à Rouen vers 1615, était venu s’établir à Rouen vers le milieu du XVIe siècle et qui a donné un grand nombre de peintres.

Jean Jouvenet dit le Vieux, (XVIe siècle-1615), peintre et sculpteur français d'origine italienne, père de :

Noël Jouvenet dit le Vieux, (XVIe siècle-1616), peintre, père de :

Laurent Jouvenet dit le Vieux, (XVIIe siècle-1675), peintre, père de :

Noël Jouvenet, (XVIIe siècle-XVIIe siècle), architecte ;

Laurent Jouvenet dit le Jeune, (1609-1681), peintre, père de :

François Jouvenet dit le Jeune, (1664-1749), né à Rouen, le 19 décembre 1664 et mort à Paris le 8 avril 1749, est un peintre français. Neuvième fils de Laurent Jouvenet et frère de Jean Jouvenet, François Jouvenet appartient à l’illustre famille de peintres Jouvenet. Peintre, père de :

Noël Jouvenet dit le Jeune, (?-?), peintre ;

Jean Jouvenet dit le Grand, (1644-1717), peintre ;

Jacques Jouvenet, (?-?), peintre.

François Dagobert Jouvenet (1688/1689-1756), sans lien connu avec les précédents.

Louis de Boullogne II, dit Boullogne fils ou Boullogne le Jeune, né en 1654 à Paris où il est mort le 2 novembre 1733, est un peintre français. Fils du peintre Louis Boullogne I et frère de Bon Boullogne, son père, qui craignait la rivalité entre les deux frères, s’opposa d’abord à ce qu’il soit peintre, mais la vocation l’emporta, et tous les soirs Louis traversait Paris pour aller avec Bon dessiner à l’Académie. À dix-huit ans, il obtint le grand prix de peinture et partit pour Rome en 1676, au moment où son frère en revenait. Il y exécuta les copies de l’École d’Athènes, de la Dispute du Saint Sacrement et de plusieurs autres œuvres de Raphaël, d’après lesquelles les Gobelins firent différentes tentures de tapisserie pour le roi.

Louis Boullogne, dit Louis le père, né en Picardie vers 1609 et mort à Paris en juin 1674, est un peintre français. Il eut deux fils, Bon et Louis, et deux filles, Geneviève et Madeleine, tous quatre peintres, sa fille Geneviève épousa le sculpteur Jean-Jacques Clérion (vers 1640-1714).

Bon Boullogne, dit Boullogne l’aîné, baptisé le 22 février 1649 à Paris où il est mort le 16 mai 1717, est un peintre et graveur français.

Madeleine Boullogne, baptisée le 24 juillet 1646 à Paris où elle est morte le 30 janvier 1710, est une artiste peintre française. … Madeleine Boullogne a une vie austère et pieuse. Elle est célibataire et vit avec son frère Bon. Marquée par un augustinisme strict et proche du jansénisme, elle a un mode de vie quasi-monastique. Elle enseigne cependant à quelques élèves. … Elle peint de nombreux tableaux sur la vie à Port-Royal des Champs, que Louise-Magdeleine Horthemels grave ensuite et qui sont extrêmement populaires. Elle peint également des natures mortes et quelques portraits, ainsi que de nombreux tableaux religieux. … Madeleigne Boullogne tombe peu à peu dans l’oubli au XVIIIe siècle, au point que certaines de ses œuvres sont attribuées à d’autres peintres.

Louise-Magdeleine Horthemels – ou Louise-Madeleine Hortemels, aussi appelée Magdeleine Horthemels – est une graveuse française née en 1686 et morte le 2 octobre 1767 à Paris. D’une famille originaire des Pays-Bas, convertie du protestantisme au catholicisme d’obédience janséniste, qui avait des liens avec l’abbaye de Port-Royal des Champs, le registre paroissial de la paroisse de Saint-Benoît, à Paris, montre que Louise-Magdeleine, baptisée en 1686, fut l’une d’au moins six enfants du libraire Daniel Horthemels et de son épouse Marie Cellier. Active comme graveuse sur cuivre dès 1707, elle épousa le 10 août 1713 son collègue Cochin l’ainé. Son frère Frédéric et ses deux sœurs, dont Marie-Anne-Hyacinthe qui avait épousé le graveur Nicolas-Henri Tardieu et l’autre, Marie-Nicole (1689-ap. 1745), le peintre Alexis Simon Belle, étaient également graveurs.

Charles-Nicolas Cochin, dit Cochin le père ou Cochin l'ancien ou Cochin le vieux, est un graveur français né à Paris le 29 avril 1688 et décédé dans cette même ville le 5 juillet 1754. Charles-Nicolas Cochin est le fils d'un peintre ignoré, Charles Cochin, qu'on croit avoir été parent des Cochin de Troyes, et de Marie Marthe de la Forge. Sans doute élève du peintre d'histoire Pierre Dulin, ce n'est qu'à 22 ans qu'il décide de se consacrer à la gravure.

Pierre Dulin, né le 17 septembre 1669 à Paris où il est mort le 28 janvier 1748, est un peintre français. Après avoir reçu quelques principes de grammaire et de latin, Dulin étudia la géométrie pratique et la perspective sous Leclerc. Comme son père le destinait à l’architecture, il l’obligea de faire un cours de cet art sous la direction de Philippe de La Hire. En assez peu de temps il en dessina les opérations avec facilité et avec goût. Pour le mettre en état de dessiner de même la figure et l’ornement, et toujours dans la vue de le faire architecte, son père le mit chez Friquet de Vauroze, de l’Académie d’architecture. C’est là que la peinture l’attendait pour se l’attacher uniquement. L’ascendant qu’elle prit sur lui le força à résister aux désirs de sa famille et obligea celle-ci à y céder.

Philippe de La Hire est un mathématicien, physicien, astronome et théoricien de l'architecture français, né le 18 mars 1640 à Paris et mort le 21 avril 1718 dans cette même ville. À son retour à Paris, il commence à étudier les sciences et les humanités et montre en particulier une grande inclination pour les mathématiques. Il fait la connaissance d'un disciple de Desargues, le graveur Abraham Bosse, et à son instigation publie une théorie de la coupe des voussoirs des arcs rampants traitée par la géométrie des coniques (1672). Ses plus importants travaux portent en effet sur la géométrie. Il est le continuateur de Girard Desargues (1591-1661) et de Blaise Pascal (1623-1662) en géométrie des coniques, en ce qu'il déduit les propriétés des coniques à partir des propriétés du cercle

Laurent de La Hyre (né à Paris le 27 février 1606 - 28 décembre 1656) est un peintre français du XVIIe siècle, père de l'académicien Philippe de La Hire. C'est l'un des principaux représentants de la peinture française des années 1630 et 1640, particulièrement réputé pour ses paysages historiques.

Girard Desargues, alias S.G.D.L. (le Sieur Girard Desargues Lyonnois comme il signe lui-même ses écrits)1 est un géomètre et architecte français né à Lyon le 21 février 1591 et mort à Lyon en octobre 1661. Considéré comme l’un des fondateurs de la géométrie projective, il en tira une théorie unifiée des coniques. On lui doit le théorème de Desargues sur les triangles en perspective, et aussi le théorème de Desargues sur l’involution.

Abraham Bosse, né à Tours en 1604 et mort à Paris en 1676, membre de l'Académie royale de peinture et de sculpture, fut l'un des meilleurs graveurs français du XVIIe siècle. Théoricien de la gravure, prosélyte des méthodes projectives de Girard Desargues, son œuvre est un emblème de l'art baroque français.

Marie-Anne Tardieu, née Hortemels en 1682 à Paris où elle est morte le 24 mars 1727, est une graveuse française. … Elle épousa Nicolas-Henri Tardieu le 20 octobre 1712.

Nicolas-Henri Tardieu dit « Tardieu ainé », né le 18 janvier 1674 à Paris où il est mort le 27 janvier 1749, est un graveur français.

Alexis Simon Belle (Paris 12 janvier 1674 - Paris 21 novembre 1734), est un peintre français, spécialisé dans le portrait de cour. Mécènes : Jacques II d'Angleterre et James Francis Edward Stuart en exil.

Je n'ai pas de difficulté à croire que Madeleine Boullogne, la pieuse, fut oubliée pendant le XVIII. siècle. Ni que les Stuart, malgré leur exil étaient des bon mécènes.

Je remercie vivement les wikipédistes qui ont mis tous ces articles en, ligne avec tant de détail!

Et pour revenir à mon propos, pendant les vies des ancêtres (2, 4, 8, 32 ou 64) de chacune personne du couple Louis XVI et Marie Antoinette, les classes royales et princières vivaient moins longuement que les musiciens ou les peintres et les graveurs.

Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
Ste Émérentiane de Rome*
23 - I - 2015

* Romae sanctae Emerentianae, Virginis et Martyris; quae adhuc catechumena, dum oraret ad sepulcrum sanctae Agnetis, cujus fuerat collactanea, a Gentilibus lapidata est.

Tuesday, January 6, 2015

If ever you throw away old shoes – save the shoestrings !

1) Recipes from Home and Abroad : If ever you throw away old shoes – save the shoestrings !, 2) New blog on the kid : Can an Old Sack be Renewed by Macramé?

I did when last I threw away worn out shoes and I am not regretting it.

I am repairing a sack in macramé. Now some surfaces around original sack (which has many holes by now) I find best to cover in simple fishnet manner. But what is the simplest fishnet ?

One model is of course the one in which flat knots of row a are tied around strings for the flat knots of row b like in tight macramé – but with spacing. There you need a ruler or some solid or at least not too wobbly flat very oblong object of uniform breadth, like 1 inch or 1 inch 6 lines. But there is another model where old shoestrings become very much more relevant.

Between two strands of already done macramé (like my « skeleton » for the macramé sack) and these around the original sack filled with the luggage it is carrying, you tie up the shoestrings back and forth, vertically or horizontally. After each crossing, you tie it slightly around the strand and then around it again a bit further before going back, the shoestring grid is to be parallel.

Now comes the rub : you take the string you want to use – rather long – and attach it by a larkhead to the strands « around the web », then you « wrap » it around that outer strand and around the shoestring parallel, all the way to opposite strand. Then you attach it there, even if only turning it loosely around it. Then you go back in a parallel row, next shoestring being one part you « wrap » it around and the strings around first shoestring (where they go around it) the other part you wrap it around. Continue through all shoestring parallels until reaching opposite strand from first you « wrapped » the string around. Or until its double length is finished, then attach a new string with a larkhead until finishing the « fishnet ».

Hans Georg Lundahl
Bibliothèque Audoux
Epiphany Day
6-I-2015

PS : 1) don't forget to take away shoestrings when finished, if you have done it correctly, the « fishnet » should stay interlocked - as I suppose you have seen the net on the seat in front of you on some airlines; 2) if shoestrings don't suffice for the whole length, you can start unravelling in the back where the « fishnet » is already interlocked and tie in front; 3) obviously you could use used chopsticks as well, a pair will suffice for reason given in « two », you can take the first away once the second is used and tie it in front of the first one, and so on, and you get new chopsticks of wood next time you eat at a sushi bar or a China food./HGL